Sure. I'm schizo myself, and although a lot of the book touches on the phenomenology of psychosis and the like, this section of the book in particular tends to elaborate on a theory of psychotic thinking more than any other, and thus I relate to a lot of the phenomena described in this section of the book. For example: >the signifying regime is not simply faced with the task of organizing into circles signs emitted from every direction, it must constantly assure the expansion of the circles or spiral, it must provide the center with more signifier to overcome the entropy inherent in the system and to make new circles blossom or replenish the old.
This feature is essentially replete in a psychotic episode: the schizo, who generally "overcodes" each signifying element (like for instance, a stop sign) becomes instrumental in the breakdown of semiotic elements in the environment. So to follow the example, a schizo wouldn't merely see a stop sign, indicating the bikes and cars should stop there, he'd see the figurative binding element as well, such as the implementation of the legal apparatus, the resources necessary to construct a huge litany of stop signs, and so forth. This eventually sends the schizo into a delirium of some kind, as all objects, or semiotic elements, tend to have double, triple, or even several meanings. Here's another line I like from the book: >The book has become the body of passion, just as the face was the body of the signifier. It is now the book, the most deterritorialized of things, that fixes territories and genealogies. The latter are what the book says, and the former the place at which the book is said.
These lines here allude to the Bible, and the other plateau, Faciality. Here D&G are attempting to construct a theory of why schizos tend to gravitate towards the Bible. The Bible to the schizo isn't merely a testament to God's power or his love or his destructive capabilities, but also the other latent meanings inherent in a text such as this.
The two regimes of signs you're referring to (signifying regime and subject-oriented, passional regime) are opposed to one another, the second is a reaction against the first. The first regime is pagan (eternal return), the second is israeli/Christian (teleology, bible).
>mfw this absolute fricking midwit pseud claimed to have understood Duns Scotus and to draw on him
the absolute state of "philosophy" post 14th century lmao
Imagine being Peirce, trying your best to build a rigorous system your whole life, striving for soundness in your arguments, studying medieval and ancient philosophy, only to have some verbose midwit recuperate and distort your work for academic and social clout.
I can't decide which of Scotus or Peirce rolled the hardest in their graves when Deleuze was writing his shit t b h
God I fricking hate french "philosophy"
t. frenchman
Petit pouacre, dis-moi donc où Deleuze s'est trompé dans son interprétation de Duns Scot (et non de Peirce puisque le concept deleuzien de virtuel lui vient de bergson)
>t. frenchman
Comme si les français étaient connus pour lu Deleuze...
Manifestement tu ne maîtrises rien du sujet auquel tu t'attaques petit pouacre, tu fais simplement honte à ton pays
12 months ago
Anonymous
>tu fais simplement honte à ton pays
mdr
12 months ago
Anonymous
La seule chose que t’inspire le rejet de ton propre patrimoine culturel et national c’est le rire?
12 months ago
Anonymous
oui lol
ce pays de partouzeurs enjuivés doit être effacé de l'histoire
la dernière fois que la France a brillé en philosophie c'est à l'âge d'or de la première scolastique avec l'Université de Paris.
évidemment, parmi les sommités de l'époque, aucun français. Hasard ?
depuis, rien que du jargonnage creux de boomer verbeux prof de philo.
(ah si pardon, éventuellement il y a quelques écrits de René Thom)
Franchement je vais pas faire semblant: la "philosophie" française m'a toujours débecté, dès le début, ne serait ce que par la forme ou même la gueule des auteurs, qui puent le vice et la partouze entre midwits normaliens. Je n'ai jamais lu Sartre et je ne lirai jamais Deleuze. Comme nous le montrent les grecs et les médiévaux, ce qui se conçoit bien s'énonce parfois clairement. Je ne suis pas une gourdasse sorbonnarde, aussi le blabla ne m'émoustille pas plus que ça. Si j'étais coincé aux chiottes avec du PQ et les bouquins de ces débiles dégénérés, je préfèrerais lire le PQ en braille, et laisser les écrits de ces messieurs réaliser leur vocation de torche-cul.
s'approprier un penseur rigoureux comme Scot pour écrire ce qui est manifestement ici un livre de vague critique culturelle (il y est question de "capitalisme" visiblement et de psychologie) avec un "psychanalyste" (encore une fois, mdr), c'est fort. M. Deleuze s'est aussi fendu d'essais sur le sadomasochisme, mais il est "un pur métaphysicien", nous assure-t-il.
Scot, que je connais bien puisque ce n'est pas un midwit français, est avant tout un théologien. De son propre aveu, sa métaphysique est indissociable de sa théologie. On ne peut rien emprunter à Scot (pas plus qu'à aucun penseur de la scolastique), si ce n'est le tout, sans amputer. L'univocité de Scot est totalement fantasmée, récusée par l'intéressé, et considérée par les spécialistes (Wolter, Ward, encore une fois, pas des français) comme difficilement séparable de l'analogie thomiste. Comme le dit Ward, "univocité n'est pas un terme univoque". Ce mythe selon lequel Scot aurait rompu avec quoi que ce soit avec cette théorie (perpétué par les Milbank et autres), est aussi infondé que le mythe selon lequel il serait volontariste.
Je n'ai donc même pas besoin, en réalité, de lire Deleuze, pour savoir que quelqu'un qui présente Scot comme un penseur "rompant" avec l'aristotélisme ou la pensée classique, essaie de s'arroger un peu de la crédibilité d'un penseur autrement plus sérieux que lui pour écrire ses conneries. Ses conneries, j'insiste, qui sont avant tout des conneries de français.
12 months ago
Anonymous
>évidemment, parmi les sommités de l'époque, aucun français. Hasard ?
Je vais faire comme si j'avais rien entendu
>depuis, rien que du jargonnage creux de boomer verbeux prof de philo.
Tu restes hermétique au « jargonnage creux » pour la seule raison que tu es un flemmard qui refuse de fournir quelque travail d'approfondissement conceptuel que ce soit. Et tu parles de « boomer verbeux prof de philo » comme si depuis l'antiquité nombres de penseurs n'avaient pas enseigné (en parallèle ou non).
>ce qui se conçoit bien s'énonce parfois clairement
Lire quoi que ce soit dans quelque domaine que ce soit et qui ne s'assimile pas à de la vulgarisation convainc immédiatement du contraire. Il faut être d'une folle naiveté ou inculture pour croire le contraire.
>ce qui est manifestement ici un livre de vague critique culturelle (il y est question de "capitalisme" visiblement et de psychologie)
Encore une fois tu ne maîtrises pas le sujet petit pouacre, Différence et répétition, le livre dans lequel il convoque Scot, est un livre de pur métaphysique, (et à la limite d'égologie puisqu'il y critique la conception phénoménologique du sujet et de la conscience dans le temps, à partir d'un empirisme réformé).
>M. Deleuze s'est aussi fendu d'essais sur le sadomasochisme, mais il est "un pur métaphysicien", nous assure-t-il.
Effectivement, Deleuze a produit une analyse de Sacher-Masoch, il aurait dû s'abstenir d'aborder des auteurs qui contreviennent à ta petite morale étriquée de petit pouacre c'est ça? + Différence et répétition est un livre de pur métaphysique, comme beaucoup d'autres de ses oeuvres effectivement
>Ce mythe selon lequel Scot aurait rompu avec quoi que ce soit avec cette théorie (perpétué par les Milbank et autres), est aussi infondé que le mythe selon lequel il serait volontariste.
Tu as cité des noms et fait appel à l'autorité, j'attends maintenant tes arguments
>Je n'ai donc même pas besoin, en réalité, de lire Deleuze, pour savoir que quelqu'un qui présente Scot comme un penseur "rompant" avec l'aristotélisme ou la pensée classique, essaie de s'arroger un peu de la crédibilité d'un penseur autrement plus sérieux que lui pour écrire ses conneries. Ses conneries, j'insiste, qui sont avant tout des conneries de français.
J'admets bien que mes post grossiers trahissent la subtilité et la nuance difficilement égalables de ses écrits, mais j'en aurais au moins une idée contrairement à toi, petit pouacre qui se complaît dans l'ignorance et la médiocrité
12 months ago
Anonymous
>"Je vais faire comme si j'avais rien entendu"
Il est vrai que ce trou à merde qu'on appelle la france a quand quand même vomi Etienne Tempier, qui, en bannissant les écrits d'Aristote, a en quelque sorte préfiguré la croisade française contre la philosophie. >"Et tu parles de « boomer verbeux prof de philo » comme si depuis l'antiquité nombres de penseurs n'avaient pas enseigné (en parallèle ou non)"
l'accent est sur "boomer". les grands penseurs de l'histoire n'étaient pas des pebreasts athées puants comme les boomers mentaux qui servent de philosophes aux français. >"ta petite morale étriquée"
lança le goy, subjugué par la sagesse soixante-huitarde de la judéocratie gérontomorphe française qui était son seul horizon.
les erreurs morales, évidemment, sont exactement des erreurs intellectuelles, ce qu'aucun grec et aucun médiéval ne contesterait. être un dégénéré traduit une débilité de l'intellect. être un athée traduit aussi une débilité de l'intellect. être un athée et prétendre avoir compris quoi que ce soit à Scot traduit ce que tes maîtres juifs, sale français de merde que tu es, appellent je crois la "chutzpah".
Pour ce qui est d'arguments je peux citer Scot lui même, le passage usuel pour réfuter ces énormes conneries chez les gens qui s'obstinent à ne lire ni Scot ni ses vrais commentateurs, est Ordinatio 1, d. 3, pars 1, q. 3.
Deleuze aurait mieux pu faire son marché, il aurait pu choisir un penseur médiéval aussi con que lui, c'est à dire Ockham. Il aurait eu ça en commun avec Ockham qu'aucun de ces deux hommes n'a jamais écrit une ligne de philosophie. (et encore une fois je n'ai pas besoin d'avoir lu Deleuze puisqu'un athée n'aura jamais rien d'intéressant à dire)
11 months ago
Anonymous
Je pensais parler à un être raisonnable mais tu es manifestement un sale babouin croyant et dogmatique au possible. Ce dialogue stérile ne m'intéresse donc plus, mais je continuerais de te répondre pour le plaisir si tu le souhaites.
12 months ago
Anonymousn
>M. Deleuze
these mfs really out here saying 'Monsieur Deleuze'.
I noticed that every french philosopher (every single one), at the end of their 800 page gibberish manifesto conclude with >...and thus from the law of identity A=A we have demonstrated the inevitability of the dictatorship of the proletariat, and also the abolition of the age of consent
What gives?
12 months ago
Anonymous
All french "people" can ever produce is that characteristic, unmistakable blend of political/social commentary, "cultural critique", and psychology. For some reason the world seems to still put up with it, even granting it the title of philosophy.
The answer to your question is that since french "people" are devoid of any notion of demonstration or truth, they really cannot be made to see that there is a fundamental difference between philosophy (which has meaning) and what they do (which has none). To them it's all just mouth noises and blots of ink on paper. Sometimes when they use really big words some people clap, and they like that. They cannot comprehend anything more because they cannot comprehend anything period, being NPCs. There is just nothing to them.
12 months ago
Anonymous
I think the anglo "analytic" stuff is probably too extreme and autistic in the other direction. I feel pic related has scrambled the brains of american philosophers forever. I don't even want to think about how much has been written about LE POSSIBLE WORLDS at this point.
11 months ago
Anonymous
Oh yeah I agree
I mean it's shit but at least there's something to it, it has content, it's not just word soup.
11 months ago
Anonymous
>ancient greeks mix philosophy with integralism and holism >le based!!! >french do same today >cringe!!!!! >thomists act autistic within a framework >haha angels on needles >analytics do same with bugmen metaphysics instead >this is real philosophy^tm guys
Neck yrself pseud
11 months ago
Anonymous
nice reading comprehension homosexual. where did you get the sense I thought ill of thomism you fricking moron ? thomist philosophers make up like a good third of what I read lmao. also where did you get the sense I was praising analytics *you fricking moron* ?
11 months ago
Anonymous
IQfy is performative. We do not meet as men but as masks. Regardless, it is thee who is the tard I am afraid.
11 months ago
Anonymous
Maintenant que j'y pense, ne restons pas assis sur des signifiants flottants, définis donc
« philosophie »
11 months ago
Anonymous
the French do decent mathematics. at least they aren't spain.
12 months ago
Anonymous
11 months ago
Anonymous
>and thus from the law of identity A=A we have demonstrated the inevitability of the dictatorship of the proletariat, and also the abolition of the age of consent
But 20th century philosophy is about rejecting the law of identity midwit
11 months ago
Anonymous
No, it was 19th century philosophy who rejected it, with Hegel and his dialectical conception of becoming
11 months ago
Anonymous
No, it was 19th century philosophy who rejected it, with Hegel and his dialectical conception of becoming
Deleuze uses Duns Scot in D&R as the first philosopher breaking with Aristotelician conception of being (Univocity), he uses him in his project of building a radical immanence deprived of any trace of transcendance and representation (in its search for a pure concept of difference). Could you please tell me where did he go wrong in his interpretation?
Faciality plateau because it's what I read when I was in a deep, gloomy slump in my first year of English Lit, and it got it me excited and energised about literature again (got me out of the black hole of subjectivity and into the jungle of machines, heheh).
In my crude recollected reading, it's when you're cut off from being an active part of the world (physical + imaginative + cultural + social worlds) and start being an observer in his psychic wienerpit, inspecting all the objects that flash up on his radar purely to see what they significance they have your individual personal narrative. That's the aspect that related to the experience in my post.
I think in ATP they put more of an emphasis on the 'black hole' as the thing that can capture the subject's speech: it's supposed to be where all their statements come from and what they're to be interpreted in terms of. It sort of sucks all the potential energies of what your saying and draws them into this one, isolated, all-consuming, psychological interpretation.
White-Walls emit signifiers, usually through some kind of dichotomy. Male-female, poor-rich, etc. Black-Holes absorb signifiers. Subjectivity (subject-ivity) is when you begin identifying as a subject and as such start classifying yourself. Black-Holes and White-Walls create faces, which form a grid. Every possible face is an identity. Whoever controls the faces controls people as they will willingly adopt a specific face and act in accordance with it and with other faces. Deleuze posits that BH/WW only create a limited set of faces and that anything not in this set of faces is bad, and while I agree generally, he says that several social categories arise from not accepting one of these faces, such as Black folks and gays. This might have been a quaint idea in 1960s France, but I think it's more accurate that there are "bad-faces" which are used to identify people who society doesn't like. Not wearing a face is "why can't you just be normal", not "why aren't you like me". Perhaps the State has just gotten better at totalitarianism since Deleuze's day, however.
It's a Black-Hole both because it's a pupil but also because nothing escapes. It becomes pure receptive conformity to avoid having to change and grow. Nothing can come out of it.
can you elaborate?
This is the one where he quotes Toynbee's idea about nomads not actually moving.
>t. couldnt cross a threshhold of deterritorialization at an adequate rate and as such has rejected the body without organs that he was heading to by cutting hiw own line of flight
You could have become a nomadic solar anus wolf but instead chose to be a troony.
11 months ago
Anonymous
you fricking brainlet, you obviously haven't read my paper "phenomenology of a rimjob: towards a reassessment of the ellulian concept of techne ?"
get filtered
>The best plateau from this absolute masterpiece?
Getting a job in the fiat plant and murdering the day shift manager's daughters by high pressure water hose.
>"Lire quoi que ce soit dans quelque domaine que ce soit et qui ne s'assimile pas à de la vulgarisation convainc immédiatement du contraire."
ici la puissance de raisonnement du deleuzegay -du français en fait- est manifeste.
quel est le "contraire" de ce que j'ai dit ? je rappelle que ce que j'ai dit est que "ce qui se conçoit bien s'énonce PARFOIS clairement". es tu en train de me dire que ce qui se conçoit bien ne s'énonce jamais clairement ? ça collerait, me diras tu, avec la propension des français au blabla de midwit, et leur peur panique de l'argument clair, construit, vrai. le français est un pnj qui fait des bruits de bouche et des tâches d'encre sur du papier.
c'est bien la peine de blablater sur la phénoménologie de mes couilles et le trou noir de la subjectivité pour se vautrer de la sorte en étant pas foutu d'inverser une proposition, sans parler des fautes d'orthographe dans ton post de français ahuri, même pas foutu d'écrire correctement dans ta propre "langue" dont tu es si fier.
le dandyisme sulfureux qui consiste à servir aux normies une "métaphysique du cul dans un contexte de capitalisme terminal au sens de Clouscard" peut bien servir à mettre des étoiles dans les yeux de quelques khâgneuses mal lavées, mais il ne prouvera jamais au monde que les français de merde de ton espèce et de celle de Deleuze méritent la moindre once de respect intellectuel.
tl;dr: ferme bien ta gueule de sale français de merde, les français ne sont pas des humains et c'est tout. et les français, pas pitié, arrêtez de toucher à des Scot, à des Thomas. Ce n'est pas pour vous.
Ta proposition « ce qui se conçoit bien s'énonce PARFOIS clairement » est dénué de quelque intérêt que ce soit. Si tu admets la possibilité que des idées ne puissent être transmises qu'au prix d'une technicité conceptuelle pouvant filtrer un midwit, pourquoi refuser à Deleuze le crédit que ses idées puissent également être difficiles à transmettre?
Parce que tu es un petit pouacre avec une morale étriquée et un horizon culturel tout aussi limité.
Je veux d'abord t'entendre avouer que les fanboys de la """""philosophie"""" française ne sont pas capables d'inverser une proposition.
On est entre nous, les gens ne nous lisent pas, alors dis le moi vite fait, dis moi que les midwits qui lisent ces merdes pour français ne sont pas capables, comme tu viens de le prouver, du moindre raisonnement. Avoue et j'arrêterai de te foutre la gueule dans ta fange de français, et tu pourras recommencer à parler des "arcanes foucaldiennes de la microphysique du pouvoir", et de la "pour-soi-ité de l'ego en tant que point aveugle du discours méréologique", et autres d'idées fascinantes par autant d'auteurs de génie que je ne lirai jamais.
Du moment que tu admets que ce n'est rien d'autre que de la mauvaise poésie pour midwit, de l'assemblage de mots, l'équivalent verbal de la sapologie (on note l'éternelle affinité entre le français et le nègre), j'arrêterai de te martyriser et de te tourmenter, de t'humilier en te rappelant ce que tu es, et que tu seras à jamais: un français. Abandonne toute prétention au sens et la douleur s'arrête ici, français. Mais persiste, et tu couineras à jamais comme le porc français que tu es.
Redescends un peu, j'ai juste loupé une subtilité de merde dans ton post qui invalide d'ailleurs ta logique. Les pebreasts pouacres dans ton genre sont condamnés à ne voir dans les écrits français que poésie (sinon simple non-sens dénué d'intérêt) parce qu'ils refusent de fournir le travail conceptuel qui permettrait de passer outre l'apparence hermétique pour atteindre le sens. Puisse la vulgarisation te sauver de ta bêtise, le texte même te restant inaccessible.
On Several Regimes of Signs.
Can you elaborate?
Sure. I'm schizo myself, and although a lot of the book touches on the phenomenology of psychosis and the like, this section of the book in particular tends to elaborate on a theory of psychotic thinking more than any other, and thus I relate to a lot of the phenomena described in this section of the book. For example:
>the signifying regime is not simply faced with the task of organizing into circles signs emitted from every direction, it must constantly assure the expansion of the circles or spiral, it must provide the center with more signifier to overcome the entropy inherent in the system and to make new circles blossom or replenish the old.
This feature is essentially replete in a psychotic episode: the schizo, who generally "overcodes" each signifying element (like for instance, a stop sign) becomes instrumental in the breakdown of semiotic elements in the environment. So to follow the example, a schizo wouldn't merely see a stop sign, indicating the bikes and cars should stop there, he'd see the figurative binding element as well, such as the implementation of the legal apparatus, the resources necessary to construct a huge litany of stop signs, and so forth. This eventually sends the schizo into a delirium of some kind, as all objects, or semiotic elements, tend to have double, triple, or even several meanings. Here's another line I like from the book:
>The book has become the body of passion, just as the face was the body of the signifier. It is now the book, the most deterritorialized of things, that fixes territories and genealogies. The latter are what the book says, and the former the place at which the book is said.
These lines here allude to the Bible, and the other plateau, Faciality. Here D&G are attempting to construct a theory of why schizos tend to gravitate towards the Bible. The Bible to the schizo isn't merely a testament to God's power or his love or his destructive capabilities, but also the other latent meanings inherent in a text such as this.
Also this section just has some wicked cool diagrams.
This is an interesting post, thank you for sharing
The two regimes of signs you're referring to (signifying regime and subject-oriented, passional regime) are opposed to one another, the second is a reaction against the first. The first regime is pagan (eternal return), the second is israeli/Christian (teleology, bible).
>mfw this absolute fricking midwit pseud claimed to have understood Duns Scotus and to draw on him
the absolute state of "philosophy" post 14th century lmao
I’m pretty sure he just read Peirce’s writings on virtuality and copped the word because it sounded cool
Imagine being Peirce, trying your best to build a rigorous system your whole life, striving for soundness in your arguments, studying medieval and ancient philosophy, only to have some verbose midwit recuperate and distort your work for academic and social clout.
I can't decide which of Scotus or Peirce rolled the hardest in their graves when Deleuze was writing his shit t b h
God I fricking hate french "philosophy"
t. frenchman
Petit pouacre, dis-moi donc où Deleuze s'est trompé dans son interprétation de Duns Scot (et non de Peirce puisque le concept deleuzien de virtuel lui vient de bergson)
>t. frenchman
Comme si les français étaient connus pour lu Deleuze...
Manifestement tu ne maîtrises rien du sujet auquel tu t'attaques petit pouacre, tu fais simplement honte à ton pays
>tu fais simplement honte à ton pays
mdr
La seule chose que t’inspire le rejet de ton propre patrimoine culturel et national c’est le rire?
oui lol
ce pays de partouzeurs enjuivés doit être effacé de l'histoire
la dernière fois que la France a brillé en philosophie c'est à l'âge d'or de la première scolastique avec l'Université de Paris.
évidemment, parmi les sommités de l'époque, aucun français. Hasard ?
depuis, rien que du jargonnage creux de boomer verbeux prof de philo.
(ah si pardon, éventuellement il y a quelques écrits de René Thom)
Franchement je vais pas faire semblant: la "philosophie" française m'a toujours débecté, dès le début, ne serait ce que par la forme ou même la gueule des auteurs, qui puent le vice et la partouze entre midwits normaliens. Je n'ai jamais lu Sartre et je ne lirai jamais Deleuze. Comme nous le montrent les grecs et les médiévaux, ce qui se conçoit bien s'énonce parfois clairement. Je ne suis pas une gourdasse sorbonnarde, aussi le blabla ne m'émoustille pas plus que ça. Si j'étais coincé aux chiottes avec du PQ et les bouquins de ces débiles dégénérés, je préfèrerais lire le PQ en braille, et laisser les écrits de ces messieurs réaliser leur vocation de torche-cul.
s'approprier un penseur rigoureux comme Scot pour écrire ce qui est manifestement ici un livre de vague critique culturelle (il y est question de "capitalisme" visiblement et de psychologie) avec un "psychanalyste" (encore une fois, mdr), c'est fort. M. Deleuze s'est aussi fendu d'essais sur le sadomasochisme, mais il est "un pur métaphysicien", nous assure-t-il.
Scot, que je connais bien puisque ce n'est pas un midwit français, est avant tout un théologien. De son propre aveu, sa métaphysique est indissociable de sa théologie. On ne peut rien emprunter à Scot (pas plus qu'à aucun penseur de la scolastique), si ce n'est le tout, sans amputer. L'univocité de Scot est totalement fantasmée, récusée par l'intéressé, et considérée par les spécialistes (Wolter, Ward, encore une fois, pas des français) comme difficilement séparable de l'analogie thomiste. Comme le dit Ward, "univocité n'est pas un terme univoque". Ce mythe selon lequel Scot aurait rompu avec quoi que ce soit avec cette théorie (perpétué par les Milbank et autres), est aussi infondé que le mythe selon lequel il serait volontariste.
Je n'ai donc même pas besoin, en réalité, de lire Deleuze, pour savoir que quelqu'un qui présente Scot comme un penseur "rompant" avec l'aristotélisme ou la pensée classique, essaie de s'arroger un peu de la crédibilité d'un penseur autrement plus sérieux que lui pour écrire ses conneries. Ses conneries, j'insiste, qui sont avant tout des conneries de français.
>évidemment, parmi les sommités de l'époque, aucun français. Hasard ?
Je vais faire comme si j'avais rien entendu
>depuis, rien que du jargonnage creux de boomer verbeux prof de philo.
Tu restes hermétique au « jargonnage creux » pour la seule raison que tu es un flemmard qui refuse de fournir quelque travail d'approfondissement conceptuel que ce soit. Et tu parles de « boomer verbeux prof de philo » comme si depuis l'antiquité nombres de penseurs n'avaient pas enseigné (en parallèle ou non).
>ce qui se conçoit bien s'énonce parfois clairement
Lire quoi que ce soit dans quelque domaine que ce soit et qui ne s'assimile pas à de la vulgarisation convainc immédiatement du contraire. Il faut être d'une folle naiveté ou inculture pour croire le contraire.
>ce qui est manifestement ici un livre de vague critique culturelle (il y est question de "capitalisme" visiblement et de psychologie)
Encore une fois tu ne maîtrises pas le sujet petit pouacre, Différence et répétition, le livre dans lequel il convoque Scot, est un livre de pur métaphysique, (et à la limite d'égologie puisqu'il y critique la conception phénoménologique du sujet et de la conscience dans le temps, à partir d'un empirisme réformé).
>M. Deleuze s'est aussi fendu d'essais sur le sadomasochisme, mais il est "un pur métaphysicien", nous assure-t-il.
Effectivement, Deleuze a produit une analyse de Sacher-Masoch, il aurait dû s'abstenir d'aborder des auteurs qui contreviennent à ta petite morale étriquée de petit pouacre c'est ça? + Différence et répétition est un livre de pur métaphysique, comme beaucoup d'autres de ses oeuvres effectivement
>Ce mythe selon lequel Scot aurait rompu avec quoi que ce soit avec cette théorie (perpétué par les Milbank et autres), est aussi infondé que le mythe selon lequel il serait volontariste.
Tu as cité des noms et fait appel à l'autorité, j'attends maintenant tes arguments
>Je n'ai donc même pas besoin, en réalité, de lire Deleuze, pour savoir que quelqu'un qui présente Scot comme un penseur "rompant" avec l'aristotélisme ou la pensée classique, essaie de s'arroger un peu de la crédibilité d'un penseur autrement plus sérieux que lui pour écrire ses conneries. Ses conneries, j'insiste, qui sont avant tout des conneries de français.
J'admets bien que mes post grossiers trahissent la subtilité et la nuance difficilement égalables de ses écrits, mais j'en aurais au moins une idée contrairement à toi, petit pouacre qui se complaît dans l'ignorance et la médiocrité
>"Je vais faire comme si j'avais rien entendu"
Il est vrai que ce trou à merde qu'on appelle la france a quand quand même vomi Etienne Tempier, qui, en bannissant les écrits d'Aristote, a en quelque sorte préfiguré la croisade française contre la philosophie.
>"Et tu parles de « boomer verbeux prof de philo » comme si depuis l'antiquité nombres de penseurs n'avaient pas enseigné (en parallèle ou non)"
l'accent est sur "boomer". les grands penseurs de l'histoire n'étaient pas des pebreasts athées puants comme les boomers mentaux qui servent de philosophes aux français.
>"ta petite morale étriquée"
lança le goy, subjugué par la sagesse soixante-huitarde de la judéocratie gérontomorphe française qui était son seul horizon.
les erreurs morales, évidemment, sont exactement des erreurs intellectuelles, ce qu'aucun grec et aucun médiéval ne contesterait. être un dégénéré traduit une débilité de l'intellect. être un athée traduit aussi une débilité de l'intellect. être un athée et prétendre avoir compris quoi que ce soit à Scot traduit ce que tes maîtres juifs, sale français de merde que tu es, appellent je crois la "chutzpah".
Pour ce qui est d'arguments je peux citer Scot lui même, le passage usuel pour réfuter ces énormes conneries chez les gens qui s'obstinent à ne lire ni Scot ni ses vrais commentateurs, est Ordinatio 1, d. 3, pars 1, q. 3.
Deleuze aurait mieux pu faire son marché, il aurait pu choisir un penseur médiéval aussi con que lui, c'est à dire Ockham. Il aurait eu ça en commun avec Ockham qu'aucun de ces deux hommes n'a jamais écrit une ligne de philosophie. (et encore une fois je n'ai pas besoin d'avoir lu Deleuze puisqu'un athée n'aura jamais rien d'intéressant à dire)
Je pensais parler à un être raisonnable mais tu es manifestement un sale babouin croyant et dogmatique au possible. Ce dialogue stérile ne m'intéresse donc plus, mais je continuerais de te répondre pour le plaisir si tu le souhaites.
>M. Deleuze
these mfs really out here saying 'Monsieur Deleuze'.
Lord I wish I knew French...
Fr*nch is a waste of time. Learn German instead.
I noticed that every french philosopher (every single one), at the end of their 800 page gibberish manifesto conclude with
>...and thus from the law of identity A=A we have demonstrated the inevitability of the dictatorship of the proletariat, and also the abolition of the age of consent
What gives?
All french "people" can ever produce is that characteristic, unmistakable blend of political/social commentary, "cultural critique", and psychology. For some reason the world seems to still put up with it, even granting it the title of philosophy.
The answer to your question is that since french "people" are devoid of any notion of demonstration or truth, they really cannot be made to see that there is a fundamental difference between philosophy (which has meaning) and what they do (which has none). To them it's all just mouth noises and blots of ink on paper. Sometimes when they use really big words some people clap, and they like that. They cannot comprehend anything more because they cannot comprehend anything period, being NPCs. There is just nothing to them.
I think the anglo "analytic" stuff is probably too extreme and autistic in the other direction. I feel pic related has scrambled the brains of american philosophers forever. I don't even want to think about how much has been written about LE POSSIBLE WORLDS at this point.
Oh yeah I agree
I mean it's shit but at least there's something to it, it has content, it's not just word soup.
>ancient greeks mix philosophy with integralism and holism
>le based!!!
>french do same today
>cringe!!!!!
>thomists act autistic within a framework
>haha angels on needles
>analytics do same with bugmen metaphysics instead
>this is real philosophy^tm guys
Neck yrself pseud
nice reading comprehension homosexual. where did you get the sense I thought ill of thomism you fricking moron ? thomist philosophers make up like a good third of what I read lmao. also where did you get the sense I was praising analytics *you fricking moron* ?
IQfy is performative. We do not meet as men but as masks. Regardless, it is thee who is the tard I am afraid.
Maintenant que j'y pense, ne restons pas assis sur des signifiants flottants, définis donc
« philosophie »
the French do decent mathematics. at least they aren't spain.
>and thus from the law of identity A=A we have demonstrated the inevitability of the dictatorship of the proletariat, and also the abolition of the age of consent
But 20th century philosophy is about rejecting the law of identity midwit
No, it was 19th century philosophy who rejected it, with Hegel and his dialectical conception of becoming
see
No little moron, he took theses concepts from bergson's conference on the possible and the real, from which he remodelled the ideas
Deleuze uses Duns Scot in D&R as the first philosopher breaking with Aristotelician conception of being (Univocity), he uses him in his project of building a radical immanence deprived of any trace of transcendance and representation (in its search for a pure concept of difference). Could you please tell me where did he go wrong in his interpretation?
he can't
631 is pretty insightful
the BwO plat changed my life many times.
Can you also elaborate?
Faciality plateau because it's what I read when I was in a deep, gloomy slump in my first year of English Lit, and it got it me excited and energised about literature again (got me out of the black hole of subjectivity and into the jungle of machines, heheh).
What is that black hole of subjectivity?
In my crude recollected reading, it's when you're cut off from being an active part of the world (physical + imaginative + cultural + social worlds) and start being an observer in his psychic wienerpit, inspecting all the objects that flash up on his radar purely to see what they significance they have your individual personal narrative. That's the aspect that related to the experience in my post.
I think in ATP they put more of an emphasis on the 'black hole' as the thing that can capture the subject's speech: it's supposed to be where all their statements come from and what they're to be interpreted in terms of. It sort of sucks all the potential energies of what your saying and draws them into this one, isolated, all-consuming, psychological interpretation.
that's interesting, i'll check this plateau then, thank you !
White-Walls emit signifiers, usually through some kind of dichotomy. Male-female, poor-rich, etc. Black-Holes absorb signifiers. Subjectivity (subject-ivity) is when you begin identifying as a subject and as such start classifying yourself. Black-Holes and White-Walls create faces, which form a grid. Every possible face is an identity. Whoever controls the faces controls people as they will willingly adopt a specific face and act in accordance with it and with other faces. Deleuze posits that BH/WW only create a limited set of faces and that anything not in this set of faces is bad, and while I agree generally, he says that several social categories arise from not accepting one of these faces, such as Black folks and gays. This might have been a quaint idea in 1960s France, but I think it's more accurate that there are "bad-faces" which are used to identify people who society doesn't like. Not wearing a face is "why can't you just be normal", not "why aren't you like me". Perhaps the State has just gotten better at totalitarianism since Deleuze's day, however.
It's a Black-Hole both because it's a pupil but also because nothing escapes. It becomes pure receptive conformity to avoid having to change and grow. Nothing can come out of it.
This is the one where he quotes Toynbee's idea about nomads not actually moving.
holy frick what a load of shit
>t. couldnt cross a threshhold of deterritorialization at an adequate rate and as such has rejected the body without organs that he was heading to by cutting hiw own line of flight
You could have become a nomadic solar anus wolf but instead chose to be a troony.
you fricking brainlet, you obviously haven't read my paper "phenomenology of a rimjob: towards a reassessment of the ellulian concept of techne ?"
get filtered
The Apparatus of Capture or picrel
can you elaborate?
>The best plateau from this absolute masterpiece?
Getting a job in the fiat plant and murdering the day shift manager's daughters by high pressure water hose.
capture aparatus, or however the one after the war machine one is called
really spot on picture of late capitalism
What did you find in picture with the current situation ?
The one where he has sex with Black folk and kills them
Postulates of Linguistics because I'm a philologist
what link do you establish between this plateau and philology?
what
>"Lire quoi que ce soit dans quelque domaine que ce soit et qui ne s'assimile pas à de la vulgarisation convainc immédiatement du contraire."
ici la puissance de raisonnement du deleuzegay -du français en fait- est manifeste.
quel est le "contraire" de ce que j'ai dit ? je rappelle que ce que j'ai dit est que "ce qui se conçoit bien s'énonce PARFOIS clairement". es tu en train de me dire que ce qui se conçoit bien ne s'énonce jamais clairement ? ça collerait, me diras tu, avec la propension des français au blabla de midwit, et leur peur panique de l'argument clair, construit, vrai. le français est un pnj qui fait des bruits de bouche et des tâches d'encre sur du papier.
c'est bien la peine de blablater sur la phénoménologie de mes couilles et le trou noir de la subjectivité pour se vautrer de la sorte en étant pas foutu d'inverser une proposition, sans parler des fautes d'orthographe dans ton post de français ahuri, même pas foutu d'écrire correctement dans ta propre "langue" dont tu es si fier.
le dandyisme sulfureux qui consiste à servir aux normies une "métaphysique du cul dans un contexte de capitalisme terminal au sens de Clouscard" peut bien servir à mettre des étoiles dans les yeux de quelques khâgneuses mal lavées, mais il ne prouvera jamais au monde que les français de merde de ton espèce et de celle de Deleuze méritent la moindre once de respect intellectuel.
tl;dr: ferme bien ta gueule de sale français de merde, les français ne sont pas des humains et c'est tout. et les français, pas pitié, arrêtez de toucher à des Scot, à des Thomas. Ce n'est pas pour vous.
Ta proposition « ce qui se conçoit bien s'énonce PARFOIS clairement » est dénué de quelque intérêt que ce soit. Si tu admets la possibilité que des idées ne puissent être transmises qu'au prix d'une technicité conceptuelle pouvant filtrer un midwit, pourquoi refuser à Deleuze le crédit que ses idées puissent également être difficiles à transmettre?
Parce que tu es un petit pouacre avec une morale étriquée et un horizon culturel tout aussi limité.
Post avant "gnognognogno pouacre pouacre tapalu".
Je veux d'abord t'entendre avouer que les fanboys de la """""philosophie"""" française ne sont pas capables d'inverser une proposition.
On est entre nous, les gens ne nous lisent pas, alors dis le moi vite fait, dis moi que les midwits qui lisent ces merdes pour français ne sont pas capables, comme tu viens de le prouver, du moindre raisonnement. Avoue et j'arrêterai de te foutre la gueule dans ta fange de français, et tu pourras recommencer à parler des "arcanes foucaldiennes de la microphysique du pouvoir", et de la "pour-soi-ité de l'ego en tant que point aveugle du discours méréologique", et autres d'idées fascinantes par autant d'auteurs de génie que je ne lirai jamais.
Du moment que tu admets que ce n'est rien d'autre que de la mauvaise poésie pour midwit, de l'assemblage de mots, l'équivalent verbal de la sapologie (on note l'éternelle affinité entre le français et le nègre), j'arrêterai de te martyriser et de te tourmenter, de t'humilier en te rappelant ce que tu es, et que tu seras à jamais: un français. Abandonne toute prétention au sens et la douleur s'arrête ici, français. Mais persiste, et tu couineras à jamais comme le porc français que tu es.
Redescends un peu, j'ai juste loupé une subtilité de merde dans ton post qui invalide d'ailleurs ta logique. Les pebreasts pouacres dans ton genre sont condamnés à ne voir dans les écrits français que poésie (sinon simple non-sens dénué d'intérêt) parce qu'ils refusent de fournir le travail conceptuel qui permettrait de passer outre l'apparence hermétique pour atteindre le sens. Puisse la vulgarisation te sauver de ta bêtise, le texte même te restant inaccessible.
Philosophy was a mistake
Pas de réponse du français à ce que je vois. Tu as mal digéré ton humiliation, le midwit ?
J'ai simplement une vie à côté des pebreasts pouacres comme toi.
Quelle humiliation?
Who'd be interested in making a thousand plateaus/anti-oedipus reading group or general?
me for a thousand plateaus